3 conseils pour démarrer une activité de coaching

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On n'avait pas l'intention de devenir coach, de diriger sa propre entreprise de coaching ou d'être son propre patron lorsque on a commencé à se renseigner sur le coaching. On a simplement trouvé cela de plus en plus fascinant et on a pris plaisir à jouer et à découvrir.

Il y a des erreurs que on a commises, des choses que on aurait pu faire différemment et des actions qu'on aurait pu entreprendre plus rapidement.

Voici trois de ces leçons tirées de ces débuts en tant que coach :

1. Entraînez les gens à partir de l'endroit même où vous vous trouvez

Avoir toutes les connaissances de coaching du monde ne fera pas de différence pour les clients si vous ne les utilisez pas en coachant réellement les gens ! Certaines des meilleures expériences d'apprentissage qu'on a eues sont venues en travaillant avec des clients.

Cela ne veut pas dire qu'on suggère de ne jamais chercher et suivre des cours de formation formelle. On pense personnellement que c'est un devoir envers ses clients actuels et futurs de développer, d'explorer et d'affiner son travail en permanence.

On vous suggère de ne pas remettre à plus tard sa mise en pratique !

2. Vous n'avez pas besoin d'écouter et de vous impliquer dans des pensées distrayantes

On se souvient que lorsque on a commencé à coacher, on avait toutes ces pensées distrayantes qui trottaient, dans la tête. Il n'était pas du tout inhabituel de réaliser que on prêtait attention à des questions lors d'une session de coaching.

En d'autres occasions, il pouvait s'agir d'un commentaire négatif récurrent sur l'horreur d'une question, la maladresse d'une formulation ou une observation générale sur le fait que son coaching était terrible et affreux ! C'est la prise de conscience que le coaching n'est pas une affaire de soi, mais du client en face de soi (ou à l'autre bout du fil) qui a fait la différence. C'était le catalyseur qui se permettait, lorsque on reconnaissait ces pensées, de les laisser aller, de ne pas s'y laisser prendre et de se concentrer à nouveau sur son client à ce moment-là ; cette pensée pouvait être laissée à "son temps", comme on l'entendait, en dehors de la session. Le plus drôle, c'est que plus on ne se laissait pas prendre par ces pensées pendant une session, moins elles semblaient pertinentes lorsqu'il s'agissait de "son temps" en dehors de la session !

3.Ne pas connaître un "script" de questions à l'avance n'est pas un problème, cela ne signifie pas que vous n'êtes pas préparé.

En observant les autres coacher, en participant à des formations et en lisant sur le sujet, vous rencontrerez sans doute des questions intéressantes. A un certain stade de développement, on a confondu la préparation d'une séance de coaching avec l'obligation d'avoir une liste de questions préétablies avec l'ordre dans lequel elles seraient posées, au cours de la séance à venir. Pendant un certain temps, on a pensé que le fait qu'on trouvait cela vraiment difficile à créer signifiait qu'on était un mauvais coach. Ce qu'on a oublié, c'est qu'il s'agit d'une conversation de coaching. En général, on ne planifie pas les conversations dans d'autres contextes, on les laisse se dérouler naturellement en réponse à ce que l'autre personne dit. Alors pourquoi le faire dans le cadre d'une conversation de coaching ? Ces questions stockées pour une utilisation future sont, toujours, utiles, mais elles sont utilisées lorsque cela correspond le mieux à la situation du client à ce moment-là. Cette nouvelle façon de penser permet, également, d'envisager que certaines des questions les plus puissantes utilisent le langage propre à chaque individu.

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